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(photos du net)
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Une légende
bressane
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C'est une histoire que l'on conte encore au pays bressan.
Il était d'usage, jadis, de fêter le lundi de Pâques par une série de réjouissances qui se déroulaient dans la plaine de Bourg. Là, sur un lit de sable, une centaine d’œufs étaient éparpillés. Les filles s'en venaient avec leurs amoureux et chaque couple, se tenant par la main, devait exécuter certaine danse du pays.
Ceux qui achevaient la danse sans avoir cassé d’œufs étaient fiancés de ce fait. Rien - pas même la volonté de leurs parents - ne pouvait empêcher leur union.
Or, il advînt qu'un lundi de Pâques, noble dame Marguerite d'Autriche, gouvernante des Pays-Bas, se rendant à quelque pèlerinage, traversa le pays de Bresse. La princesse était jeune et jolie, elle s'intéressa aux ébats de la jeunesse bressanne et s'attarda à regarder les danseurs.
Mais voici que tout à coup apparut, en tête d'un cortège somptueux, un jeune et élégant seigneur qui n'était autre que le duc de Savoie, Philibert le Beau.
Le duc, surpris et charmé par la présence de la princesse, mit pied à terre et fléchit le genou devant elle ; puis, comme la fête se poursuivait avec plus d'entrain, les deux jeunes souverains s'avisèrent de s'y mêler à leur tour.
- Je veux danser aussi, dit Marguerite.
Philibert lui offrit la main, et le couple princier commença d'évoluer à travers les veufs, dispersés, au rythme sautillant des rebecs et des flageolets.
L'amour, dit-on, guidait leurs pas, car ils achevèrent la danse sans avoir touché du bout du pied les coquilles fragiles.
Et le peuple criait merveille.
Philibert n'avait pas lâché la main de sa danseuse.
- Vous connaissez la coutume de Bresse, lui dit-il... Voulez-vous vous y conformer ?
Et Marguerite, baissant les yeux, répondit :
- Je le veux.
C'est ainsi. que se firent leurs fiançailles.
Un an plus tard, le jour de Pâques, ils s'épousèrent ; et, chaque année, en souvenir de leur mariage, ils gardèrent l'habitude de distribuer autour d'eux des œufs imités en matières précieuses, rappelant ainsi leur rencontre dans la plaine de Bourg et leur union fortunée.
De là vient que furent nommés « œufs de Pâques » les cadeaux des heureux époux.
Il était d'usage, jadis, de fêter le lundi de Pâques par une série de réjouissances qui se déroulaient dans la plaine de Bourg. Là, sur un lit de sable, une centaine d’œufs étaient éparpillés. Les filles s'en venaient avec leurs amoureux et chaque couple, se tenant par la main, devait exécuter certaine danse du pays.
Ceux qui achevaient la danse sans avoir cassé d’œufs étaient fiancés de ce fait. Rien - pas même la volonté de leurs parents - ne pouvait empêcher leur union.
Or, il advînt qu'un lundi de Pâques, noble dame Marguerite d'Autriche, gouvernante des Pays-Bas, se rendant à quelque pèlerinage, traversa le pays de Bresse. La princesse était jeune et jolie, elle s'intéressa aux ébats de la jeunesse bressanne et s'attarda à regarder les danseurs.
Mais voici que tout à coup apparut, en tête d'un cortège somptueux, un jeune et élégant seigneur qui n'était autre que le duc de Savoie, Philibert le Beau.
Le duc, surpris et charmé par la présence de la princesse, mit pied à terre et fléchit le genou devant elle ; puis, comme la fête se poursuivait avec plus d'entrain, les deux jeunes souverains s'avisèrent de s'y mêler à leur tour.
- Je veux danser aussi, dit Marguerite.
Philibert lui offrit la main, et le couple princier commença d'évoluer à travers les veufs, dispersés, au rythme sautillant des rebecs et des flageolets.
L'amour, dit-on, guidait leurs pas, car ils achevèrent la danse sans avoir touché du bout du pied les coquilles fragiles.
Et le peuple criait merveille.
Philibert n'avait pas lâché la main de sa danseuse.
- Vous connaissez la coutume de Bresse, lui dit-il... Voulez-vous vous y conformer ?
Et Marguerite, baissant les yeux, répondit :
- Je le veux.
C'est ainsi. que se firent leurs fiançailles.
Un an plus tard, le jour de Pâques, ils s'épousèrent ; et, chaque année, en souvenir de leur mariage, ils gardèrent l'habitude de distribuer autour d'eux des œufs imités en matières précieuses, rappelant ainsi leur rencontre dans la plaine de Bourg et leur union fortunée.
De là vient que furent nommés « œufs de Pâques » les cadeaux des heureux époux.
Ernest LAUT.
Le Petit Journal illustré
du 16 Avril 1911
Je suis au bord des larmes ma belle. Tes sentiments, je peux les voir à travers ces tendres photos que tu as choisies. Je pleure parce que je suis triste; le billet que j'ai affiché avec le poème au sujet du cancer? Quelques "amies" n'avaient même pas le courage de me rendre visite, ou bien me laisser un petit mot. A quoi bon alors, si le poète n'a pas de lecteurs? J'écris pour le public. Si le public arrête me lire, à quoi bon? Je parle de mes "amies".....je sais, je suis trop sensible....mais tes sentiments.....ce sont exactement les miens, et je t'adore. Et à mon avis, c'est IMPORTANT de dire aux autres qu'ils/elles sont important(e)s.
RépondreSupprimerMERCI POUR TOUT le travail que tu mets afin de nous dire: VOUS ÊTES IMPORTANTES! Bisous, Anita
Délicieux, charmant, tendre, voilà à quoi ressemble ton billet Nélinha!
RépondreSupprimerBises et bonne semaine.
Ton billet,c'est un moment de ravissement et de pur bonheur,ravissant,émouvant,une belle histoire,de superbes photos,quel plaisir de te rendre visite,un moment en dehors du temps...
RépondreSupprimerMa chère, je viens de te lire chez moi....WOW. J'adore le langage, surtout le français ET surtout le coeur dans lequel tous ces mots demeurent. Merci pour tes pensées, et tu as complètement raison. La qualité d'amies, c'est ça sur lequel il faut se concentrer. Je vais continuer à venir chez toi, chaque fois que tu affiches tes belles pensées! Et la façon dont tu t'es exprimée aujourd'hui chez moi, OH, QUELLE INSPIRATION! MERCI! Voilà pourquoi je fais le blogging.
RépondreSupprimerBISOUS, et je reviendrai pour la suite! Anita
Une belle histoire, de ravissantes photos... C'est toujours un immense plaisir de venir te rendre visite !
RépondreSupprimerDouce soirée
Bisous
Belle et tendre histoire. Comme toujours un adorable billet.
RépondreSupprimerBonne soirée. Bise. Bernadette.
De superbes photos et cartes et une très belle histoire,
RépondreSupprimerTrès belle fin de soirée et à bientôt
Bises
Quel beau billet douceur, tes images sont tellement belles! Bisous tout doux et bon lundi dans la joie!
RépondreSupprimerDès le début de ma lecture, j'ai été charmée par les belles images ... quelle ne fut pas ma surprise ensuite de découvrir cette jolie histoire que je ne connaissais pas alors que je suis bressane !!! certes, d'adoption mais je n'avais jamais entendu parler de cette jolie rencontre amoureuse ! une belle surprise, et je t'en remercie !
RépondreSupprimerbisous
Cc chère Nélinha, c'est une semaine qui commence bien avec de si jolies photos et une charmante histoire !!
RépondreSupprimerje viens de publier mon article sur la communion alors je t'invite à aller voir en espérant que ça t'aidera car c'est spécialement pour toi que je l'ai écrit :)
Très bon début de semaine,
je t'embrasse
Emmanuelle
merci pour ces belles images ce n'est que du bonheur d'ouvrir tes posts
RépondreSupprimerbisous
Quel joli billet plein de tendresse, ce n'est que du bonheur chez toi .
RépondreSupprimerBisous . Tinou
Merci pour cette charmante histoire et ces superbes photos
RépondreSupprimerTrès belle semaine et gros bisous
Amega
Merci de tout coeur pour cette jolie collection d'images et l'histoire à lire et...à relire !
RépondreSupprimerRecoucou Nélinha, c'est encore moi :) car je suis heureuse de savoir que ma présentation de table te plaise et que ça illustre les inspirations que tu avais trouvé. On doit avoir les mêmes goûts et envies de déco, chouette !!!
RépondreSupprimerA très vite
Bisous
Emmanuelle
un vrai conte de fée , j'aime bien les contes surtout quand cela fini bien ♥♥♥
RépondreSupprimerde belles images pour une fête que j'aime beaucoup
tendresse
edith (iris)
J'aime beaucoup cette histoire de conte de fées que je découvre. Le tout agrémenté de tes habituelles superbes photos, c'est pur bonheur ! Doux bisous ma belle. Grace à toi,oncommence bien la semaine.
RépondreSupprimerQue j'aime cette histoire - un merveilleux conte rempli de tendresse et de bonheur !
RépondreSupprimerTes photos sont merveilleuses et je suis très émue en regardant encore une fois ton billet!
Merci , ma douce, de ce joli moment !
Je t'embrasse
Solène
Une histoire très belle et romantique aussi comme les photos qui accompagnent ce billet. Un amour...
RépondreSupprimerBisous.
J'adore les histoires... Merci pour ce joli cadeau !
RépondreSupprimerBisous